C’est pas pour mal faire, mais!
L’autre jour, je discutais avec une collègue qui me racontait que son conjoint lui a dit qu’elle s’empêchait d’avoir un certain type de clients parce qu’elle s’adresse à un groupe spécifique, i.e., sa cliente-idéale.
Je lui ai répondu ceci :
« C’est qui la boss dans ton entreprise, toi ou ton conjoint?
Avec qui veux-tu travailler?
Tu l’as écrit. Les autres qui veulent travailler avec toi te contactent s’ils se sentent concernés.
Nos conjoints veulent nous aider, mais à moins d’être aussi des entrepreneurs à succès, ils n’y connaissent pas grand-chose. Souvent, ils nous partagent, ou projettent simplement leurs peurs.
Et ils nous font douter alors que c’était clair pour nous. Ils ont le don de peser sur le bon bouton, n’est-ce pas? »
Quand on essaie d’inclure tout le monde, le message n’est pas clair, il se dilue.
Ça, quelqu’un qui n’a jamais été en affaires, ne peut pas le comprendre.
J’ai déjà dit à mon conjoint que j’appréciais qu’il souhaite m’aider, mais que j’allais continuer à suivre les conseils de mes coachs d’affaires et des experts en marketing qui sont passés par là , et qui savent ce qui fonctionne ou non.
Depuis, il m’écoute et s’il sent que j’hésite à prendre une décision, il me demande simplement si j’en ai parlé avec mes coachs.
Mets ton chapeau d’entrepreneure et décide ce qui est le mieux pour ton entreprise et pour toi.
Et si t’as besoin d’aide pour déterminer la prochaine étape pour toi, discutons-en.